Mon feu d'artifice. mon 14 juillet (part 1 sur 2)

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il y a 6 ans

Le 14 Juillet c’est la fête nationale, le feu d’artifice et l’été. Et quand on a 19 ans comme moi et un corps mince, on profite pour s’habiller léger. Non pas pour allumer les mecs, encore que. Mais tout simplement pour avoir le moins chaud possible.

Alors oui, j’ai 19 ans et je suis mince. Je fais un petit 55 kg pour mon mètre 64. J’ai des formes normales pour une fille de mon âge et je ne suis pas une fille tape à l’œil comme certaines. Je ne me maquille pas ou très peu, je ne suis pas blonde et je n’ai pas une forte poitrine bien quelle reste généreuse malgré tout. Je m’appelle Maëline et cette année la, ma vie a basculée pour toujours.

Je sors d’une relation avec un gars qui s’est finie aussi vite qu’elle a commencée et très franchement, il n’y a pas de peine de cœur. Cette relation n’est pas allé jusqu’aux moments intimes. C’est dire qu’elle n’avait pas un grand intérêt. Au moins, j’avais du temps pour sortir avec mes copines.

C’était donc 2 jours avant, le samedi 12 juillet, une copine me propose de profiter des centres commerciaux pour aller dénicher des soldes. Et oui, je suis une fille et les soldes, c’est sacré. J’opte pour une robe mi cuisses, légère et légèrement volante. L’avantage de cette robe est que je peux me passer de soutien gorge. En bas, je choisie un shorty dentelle très mignon que je viens juste de m’acheter.

J’habite une grande ville. Pour me rendre dans ce centre commercial, je prends les bus. Ma copine vie plus loin et doit se faire déposer par sa mère, en voiture. Nous devions nous retrouver devant l’entrée du centre commercial, mais ma copine n’arrivant pas, j’apprends par téléphone qu’elle ne viendra pas car la voiture de sa mère est tombée en panne et qu’elle n’a pas la possibilité de venir autrement.

Déçue je rentre seule dans le centre commercial et parcours les boutiques bondé de monde. C’est fou de voir a quel point les soldes attirent les gens. Après 1h de flânerie sans rien avoir trouvé, je dois aller vers les toilettes. Problème, une file d’attente importante vers les toilettes dames me fait craindre de ne pas réussir à me retenir. Je tourne la tête de gauche à droite, personne ne fait attention a moi et j’opte pour les toilettes Messieurs qui semble vides.

J’entre timidement et par chance, il n’y a personne. Je peux donc choisir tranquillement mon sanitaire. Je choisis le plus isolée des autres, tout au fond. J’ouvre la porte, inspecte le lieu, c’est propre et relativement large. Sans le savoir, j’ai choisis le sanitaire prévu pour les personnes handicapées. Alors que j’allais entrer, un homme me pousse et entre avec moi, collé à moi. Il me pousse dans ce sanitaire, une main sur ma bouche et de son autre main, il ferme la porte puis il me plote les seins sans la moindre gêne. Il me dit à voix basse :

« - Et bien jeune fille, tu t’es perdue ? Tu sais que tu es chez les hommes ici !!

  • (Complètement surprise, je fais un oui de la tête)

  • (Sa main passe de mes seins vers mon intimité, sous ma robe mais au dessus de ma culotte) Tu as si envie que ca pour ne pas attendre d’aller chez les filles ?

  • (J’ai de plus en plus peur et je n’ose plus bouger. Je fais un oui une nouvelle fois)

  • (Sa main est maintenant dans ma culotte, sur mon intimité entre mon clitoris et mes lèvres intimes qu’il caresse lentement) Enlèves ta robe et ta culotte et assoies toi pour soulager ta vessie !! »

Je suis paralysée, tétanisée et bêtement, je ne pense même pas à crier. Alors qu’il retire sa main de ma bouche et son autre main de ma culotte, je me déshabille comme demandé puis je me retourne pour m’assoir. Je suis nue face à un homme de plus du double de mon âge. Il est grisonnant, imposant, intimidant. Il a une carrure très impressionnante, il me fait peur. Son regard est à la fois posé et déterminé. Je peux y voir toute son autorité. A peine assise, qu’il m’écarte les jambes pour me regarder uriner et ainsi avoir vue sur mon intimité. La encore, je me laisse faire sans explications, comme hypnotisée par cet homme, cette situation.

« Donne-moi ta culotte !! »

Je n’ose même pas le défier, et lui tend mon sous vêtement. J’espère naïvement qu’âpres ca, il va me laisser tranquille et qu’il s’en ira. Je finie de soulager ma vessie et il me laisse m’essuyer et me relever. Debout devant lui dans cet endroit très particulier, il me met un doigt devant la bouche et de son autre main, il me doigte littéralement. Il a planté 2 doigts dans mon vagin qu’il active d’un rythme progressif. Il me dit :

« Tu me répond par oui ou non de la tête et rien d’autre. Compris ?

  • (Je fais un oui de la tête)

  • Tu as peur ?

  • (Je fais un oui très énergique)

  • Ne t’en fais pas, je ne te veux aucun mal. Tu y tiens à ta culotte ?

  • (Oui) (J’y tiens d’autant plus que c’est le dernier ensemble que je me suis achetée)

  • Tu viens le chercher demain. Tu seras à 14h devant l’entrée est de ce centre commercial. Tu porteras une robe tout aussi légère que celle la et sans sous-vêtements. Dernier point, tu épile ta petite chatte, les poils, c’est moche sur une si jolie fille que toi. Tu as compris ?

  • (Je fais un oui de la tête)»

Il accélère de me doigter, je coule comme une fontaine, je perds pieds et pour étouffer ma respiration ou d’éventuels cris de jouissance, il m’embrasse a pleine bouche, sa langue venant au contact de la mienne. Je commence à avoir chaud et a aimer ce qu’il me fait. C’est surréaliste, d’être ainsi stimulée par un illustre inconnu dans les toilettes pour hommes. Je ne me contrôle plus tant je suis submergée par les émotions, le plaisir grandissant. Je prends peur lorsqu’il me dit « Et bien, tu veux te faire sauter en plus ? » C’est la que je remarque que dans cette frénésie de plaisir, j’ai placé une main sur son pantalon, sur sa verge déjà prête et que je le caresse. Evidemment, j’ai beau lui faire non de la tête, mais il n’en a que faire. Je ne peux pas le convaincre et je ne suis même pas persuadée d’être moi-même convaincue. Très vite, il baisse son pantalon et son boxer, il me soulève par les cuisses avec une facilitée déconcertante et plaquée contre le mur, il se plante en moi, dans ma chatte alors qu’il avait déjà reprit ma bouche de sa langue.

Je suis dans les toilettes des hommes, nue avec un inconnu de plus du double de mon âge qui pourrait être mon père et je me fais baiser sans même une réaction d’opposition de ma part. Cet homme y va franchement en moi alors que j’ai les yeux totalement écarquillés de surprise et d’incrédulité. Pourtant, de cet acte de folie, je prends un plaisir immense. Bien au delà de tout ce que j’ai pu connaitre jusque la. Son regard ne quitte pas le mien comme pour se délecter de ma réaction à chacun de ses coups de reins. Mon dieu, je ne me reconnais pas. Je me laisse baiser par cet individu et le plaisir monte violement en moi. Je veux jouir comme une folle et il le sait. Quand arrive le moment fatidique, j’écarquille mes yeux car, il éjacule….en moi….il n’a pas mit de capote…il me remplie la chatte de son sperme. Pourtant ma seule réaction est d’être déçue. Déçue que ce soit déjà fini car je n’aie pas finie de jouir. J’en veux encore.

Je suis dégoulinante et il me repose au sol. Je finie assise par terre, totalement essoufflée, la bouche grande ouverte quand il me dit « Nettoies ma bite avec ta bouche ». Je n’ai pas la force de lutter alors je le lèche, le nettoie sans rien dire. Même le gout amer et écœurant de nos sexes mêlés ne va pas m’arrêter tant j’ai la tête ailleurs. Une fois finie, je ferme les yeux pour mieux récupérer.

Il bouge, sans doute pour se rhabiller, puis avant de partir, il me rappel son ordre de le rejoindre demain a 14h pour récupérer mon sous-vêtements. Sans attendre ma réponse, il ouvre la porte et sort avec ma culotte dans sa poche.

Je ne sais quoi penser. Je suis nue dans les toilettes des hommes ou je viens de me faire sauter par un parfait inconnu qui a réussit à me donner un plaisir incroyable bien qu’inachevé. Et dire qu’avant ca, je n’ai couchée qu’avec 3 garçons de mon âge et que je n’en garde pas un bon souvenir.

Quand j’ouvre les yeux, horreur. En sortant, il n’a pas fermé la porte pour me protéger. Par chance, les 2 hommes présents ne semblent pas tenir compte de ma présence et ne semble pas m’avoir vue. Je ferme la porte du sanitaire sans soucis. Je laisse mes émotions retombé quand on frappe à la porte.

« - Alors jeune fille, on veut des sensations fortes ? »

Je ne réponds pas comme s’il n’y avait personne.

« On sait que tu es la et que tu t’es faite sautée par ce type. Tu souhaites peut être attendre qu’il y a plus de mecs pour te baiser avant d’ouvrir ? »

Prise d’une peur panique, j’ouvre sans réfléchir à ces 2 gars qui affichent des sourires évidents. Ils doivent avoir la trentaine environs et à peine la porte refermée, qu’ils ont déjà sortis leurs sexes. Je suis encore à terre à bonne « hauteur ». Je lève les yeux pour les regarder puis les baisses car j’ai honte de la situation dans laquelle je me trouve. La peur gagne du terrain et je crains le pire. Le type face à moi perd patience et place une main à l’arrière de la tête, comme pour la rapprocher de sa verge sans forcer le mouvement. Ce ne sera pas cet homme qui fera bouger ma tête, mais bel et bien moi qui avancera vers ce gars. Cette « bite » est juste devant ma bouche et dans un élan de courage, je me dis que je n’ai pas ouvert pour rien et que je viens de le faire une fois alors tant pis pour la morale, je peux bien le refaire une autre fois aujourd’hui et ainsi avoir le plaisir que je n’ai pas eue avec le premier homme. Et puis je me rassure en me disant que ca me fera une expérience incroyable.

J’ouvre la bouche et c’est parti. Je suce ce 2eme inconnu de la journée. Je me traite de salope mais au fond de moi, je sais ce que je suis réellement. Je me suis faite dépassée par les événements et cette journée restera de loin la plus incroyable de toute ma vie. Le gars que je suce s’est assis sur les toilettes et ce qui devait arriver, arriva. L’autre gars, équipé d’une capote, me pénètre la chatte. Je repars rapidement en état d’excitation car sur la première fois, je n’ai pas eue le temps de jouir et c’est sans doute pour ca que je n’ai pas montrer de résistance face à ces 2 nouveaux inconnus. Cette fois, je veux prendre mon pied. Je le fais savoir aux 2 qui me diront.

« Chut, moins fort ! Tu veux rameuter tout le monde ? Tu n’as pas assez de 2 mecs ? »

Merde, il à raison, je ne me suis pas contrôlé. Et ce qui devait arriver…on tape à la porte, mon baiseur ouvre à un gros d’une quarantaine d’années et celui que je suce dit

« Ah ah ah !! Tu l’as bien cherché. Maintenant assumes».

Je ne suis même plus déçue ou dépitée tant plus rien ne compte. Les 3 vont alternés entre ma bouche et ma chatte. Ils vont titiller mon petit trou mais je refuse et par respect, ils vont l’éviter, ouf. Quand le gros va éjaculer, il sortira sans demander son reste, laissant la porte grande ouverte. Dans ma nouvelle position, je peux voir 3 mecs qui sont la, le sexe en main, a me regarder me faire baiser. Bien qu’invités par mes 2 partenaires à nous rejoindre, ils vont se branler face à ce spectacle offert et venir m’éjaculer sur les cheveux, le visage et les seins. Un de ces hommes a fortement hésité à participer, mais par peur de je ne sais quoi, il n’osera pas venir. Je découvre que « les grands » aussi peuvent avoir peur pour rien. En effet, dans ma situation, je n’aurais pas refusé quoi que ce soit.

Mes 2 partenaires vont finir à leurs tours quand un nouvel homme, nettement moins timide, va leur succéder. Je perds peu à peu la notion du temps et de l’espace mais je sais que cet homme a été le dernier à me baiser alors qu’un nouveau spectateur se branlera juste au dessus de ma bouche, pourtant grande ouverte pour le sucer. Mais la encore, il se contentera de se branler et par m’éjaculer sur le visage. Je ne suis plus qu’une automate sexuelle prise dans une frénésie de plaisir, les cuisses grandes ouvertes et la bouche accueillante.

Quand je reprends mes esprits, 4 capotes sont a terre, la porte est fermée, je suis nue, en sueur et couverte de sperme. Pour la première fois de ma vie, je me suis comportée comme une véritable salope. J’ai du mal à croire ce que je viens de faire, ce que je viens de vivre. Comment ai-je réussis à me laisser pénétrer si facilement, et surtout autant de fois par de parfaits inconnus tous plus âgés que moi et dans ce lieu? En y repensant, je suis heureuse car tout ce fini bien et surtout, j’ai vraiment pris du plaisir. Mais que dirai mes parents s’ils savaient ce que je viens de faire ? Eux qui me répètent sans cesse de faire attention a moi. D’être vigilante face aux garçons et surtout de bien me protéger contre ce genre de situation.

Je me nettoie comme je peux avec l’aide de l’eau de la chasse et du papier toilette. Je me rhabille et déjà, me revient l’histoire de ma culotte. Je sors discrètement des sanitaires hommes. Ouf, cette fois, il n’y a personne.

De retour dans la galerie, je me dis que c’est dommage pour ma culotte, je l’aimais bien mais je n’irai pas demain. Je fouille dans mon sac pour prendre mon portable et voir l’heure qu’il est car je dois vite rentrer et prendre une bonne douche car je sens cette odeur très particulière du sperme malgré que je me sois bien nettoyée et parfumée. Je fouille mon sac à main, mais, nouvelle surprise. Ma culotte s’y trouve alors que mon portable n’y est plus. En revanche, un vieux téléphone le remplace et il n’est pas à moi. Je reçois un appel depuis ce téléphone. Alors que je sors du centre commercial, je décroche.

« Maëline.

  • Heu oui ?

  • J’ai finalement décidé de te laisser ta culotte et j’ai pris ton téléphone. Tu ne m’en voudras pas.

  • Qui êtes-vous ? Et comment savez-vous mon nom ?

  • Tu sais très bien qui je suis, puisque je viens de te laisser dans les toilettes. J’ai pris la liberté de fouiller dans ton téléphone pour en savoir plus sur toi et maintenant, je sais tout de toi.

  • Vous m’avez volée mon portable, rendez le moi.

  • Je te le rends demain à l’heure que je t’ai fixé dans les WC. Tu as intérêt à être ponctuelle et n’oublie pas de raser ta petite chatte. D’ailleurs comment elle va ? Pas trop fatiguée avec toute cette baise dans les toilettes ?

  • Comment savez-vous ?

  • J’ai vu que tu n’avais pas jouie quand j’ai fini de te baiser alors je t’ai envoyé un peu de réconfort. Tu as aimé ?

  • Vous êtes qu’un salaud. Vous m’avez faite coucher avec ces mecs ?

  • Ose me dire que tu les as refusés ?

  • …….

  • Ose me dire que tu n’as pas pris ton pied ?

  • …….

  • Nous sommes d’accord. Tu t’es faite sautée comme une vraie petite salope. Oh mais rassures toi, j’ai privatisé les toilettes pour que tu puisses te faire sauter tranquillement. Elles étaient fermées sauf pour les mecs que je t’ai envoyés. Alors, tu as aimée mon petit cadeau ?

  • (Je dois reconnaitre qu’il m’est difficile de répondre non et visiblement, il semble déjà le savoir) (Timidement et un brin honteuse, je réponds) heu oui, un peu.

  • Un peu ? n’aie pas honte d’avoir pris ton pied. Tu peux le dire, tu as aimé te faire défoncer.

  • (un brin énervée qu’il ait raison) Oui bon d’accord. J’ai vraiment aimé ca. Ca vous fait plaisir ?

  • Evidemment que tu as aimé ca. Sinon tu serais sortie très vite. Comme je te l’ai dis, tu es une vraie petite salope et tu peux en être fière.

  • ……

  • Dis-moi, combien ont eu le courage de te baiser ?

  • ….. 4

  • C’est tout ? Les autres ont fait quoi pendant ce temps la ?

  • (Je tourne la tête dans tous les sens pour être certaine de ne pas être entendue) Ils se sont masturbés.

  • Dommage, j’espérais qu’ils te baisent tous. Pas grave. Tu les aurais acceptés j’espère ?

  • ……

  • Oui, bien sur que tu les aurais acceptés. Comme une vraie salope.

  • …..

  • Bon, je t’attends demain à 14h pour récupérer ton portable et n’oublie pas de te raser la chatte.

  • Mais qu’est ce que vous voulez au juste ?

  • TOI !!!»

Il a coupé la conversation me laissant bêtement avec a ma réflexion et ma surprise. Tout le long du trajet retour, je ne pense qu’a cet improbable rencontre dans les toilettes et a tout ce que j’y ai vécu. Il m’a volé mon tel et je dois porter plainte. Mais que dire ? Que j’étais dans les chiottes des mecs et que pendant que je me faisais baiser, il me volait mon téléphone ? J’irai le récupérer demain et je verrai bien.

Le lendemain, c’est dimanche 13 juillet. Je me prépare et je rase mon intimité comme il l’a demandé. C’est bien la première fois que je fais ca. Mais bon, si ca peut me permettre de récupérer mon téléphone, autant faire ce qu’il demande. J’opte pour une jupe courte et un petit haut décolté faute de robe propre. Alors que j’allais sortir, je me rappelle qu’il m’a dit de ne pas mettre de sous-vêtements. Je les enlève rapidement et je file prendre le bus. Sans sous-vêtements, je me sens nue. J’ai l’impression que tout le monde peu le voir et que tous les mecs me regardent. Je suis très mal à l’aise.

Sur le trajet, mon cœur bat la chamade. Tous les souvenirs de la veille sont encore bien présents. Je sens malgré tout la chaleur envahir mon ventre rien que d’y repenser. J’ai vraiment pris un plaisir immense dans cet interdit. Une sensation nouvelle et incroyable.

Je m’approche de l’arrêt du centre commercial. J’ai un drôle de pressentiment. Arrivée devant l’entrée Est, je suis seule, il n’est pas encore la. Je regarde partout, il n’y a rien. Nous sommes dimanche et les commerces sont fermés donc pas de soucis d’être vue. Une main se pose sur mon épaule et me fait sursauter. Cet homme vient de sortir de nulle part. Je comprends vite qu’il vient du centre commercial pourtant fermé.

« Suis moi et pas un mot ! »

Sans rien dire, j’entre derrière lui dans le centre commercial vide. Il ferme la porte d’entré et nous voila seuls dans cet immense galerie vide. Nous passons une porte ou est indiquée, « Sens interdit sauf personnel » Puis une 2ème porte indiqué poste de sécurité. Je comprends un peu mieux comment il a réussit a « privatiser » les toilettes hier. Nous voilà donc dans le bureau des agents de sécurité.

Seule dans cette pièce face à lui, il ne tarde pas à me poser des questions

« Tu réponds par oui ou non, je ne veux rien entendre d’autre si je ne te le demande pas. Compris ?

  • Oui

  • Tu as obéie sur mes ordres de la veille ?

  • Oui

  • Déshabille-toi pour que je voie ca!

  • (Je m’exécute timidement, il peut voir que je ne porte pas de sous-vêtements et que je suis épilée.) (Il passe sa main partout sur mon intimité comme pour vérifier)

  • Tu sais pourquoi tu es la ?

  • Pour réc..

  • OUI OU NON !! Tu sais pourquoi tu es la ?

  • Oui

  • Sais tu ce qu’est une soumise ?

  • Non

  • As-tu un petit copain ?

  • (Surprise par cette question, je marque un temps d’arrêt)

  • As-tu un petit copain ?

  • Non

  • Sais-tu pourquoi je t’ai ordonné de t’épiler la chatte ?

  • Non

  • Car c’est bien plus jolie a voir sur une petite soumise et tu es une bonne soumise et bien obéissante. La preuve avec hier et tous ces mecs qui t’ont baisé.

  • …. (J’allais parler quand)

  • NON !!! Pas un mot. Je vais te rendre ton portable, il ne m’intéresse pas. Comme je te l’ai dit hier c’est toi que je veux. »

Il pose mon téléphone sur le bureau a coté du siège sur lequel il s’est assis et d’un geste du doigt, il me fait signe d’approcher et de me mettre a genoux entre ses jambes. Je suis nue et j’obéis. Je sais parfaitement ce qu’il attend de moi, ce qu’il a en tête. Malgré son âge, je ne trouve pas la force de lui désobéir. Et je sais parfaitement qu’il l’a comprit aussi.

« Tu sais ce qu’il te reste à faire Maëline. »

Oui je sais ce qu’il veut et je sais aussi et surtout que je ne trouve pas la force de prendre mon téléphone et de partir. Je ne comprends pas pourquoi il a autant d’emprise sur moi. Face à lui, je suis comme paralysée, sous son emprise, comme s’il guidait mes gestes à l’aide de ficelles invisibles. Je suis en fascination totale face à lui. Mon pressentiment se fait de plus en plus oppressant et je peux dire qu’il est de plus en plus justifié.

J’ouvre sa ceinture puis le bouton de son pantalon et enfin, je baisse son caleçon pour libérer son sexe déjà en érection. J’enlève totalement son pantalon et son caleçon pour faire face à cette verge qui m’a donné tant de plaisir la veille. Ce souvenir m’hypnotise à nouveau. J’ai son sexe en main et je le trouve immense en comparaison de mes ex petits copains. Je ne suis pas une fan de la fellation et je me retrouve nue devant cet homme ultra intimidant, qui pourrait être mon père et don je ne réussis pas à refuser quoi que ce soit. Je le masturbe doucement, le temps de trouver le courage d’y aller. Mon regard croise le sien.

« Maëline, Si tu me suce, tu deviens ma soumise et tu sais que tu ne pourras plus jamais rien me refuser, je ferais de toi ce que je veux. Mais, je ne vais pas te forcer à venir à moi. Tu es libre de prendre ton téléphone, de te rhabiller et de partir maintenant. Je ne m’opposerai pas à ton départ si c’est ce que tu choisis. A toi de faire le bon choix pour toi. Prends ton temps pour réfléchir.»

Je suis surprise par son honnêteté. Il me laisse le choix et il me le dit. Mes craintes sont en partie levés après ce qu’il vient de me dire. J’étais persuadée qu’il voulait coucher avec moi en échange de mon téléphone. Je ne bouge pas. Je garde ce sexe en main que je caresse très lentement. Il est honnête avec moi et je me sens en sécurité avec lui malgré la situation. Sa proposition est claire mais il me laisse libre de choisir. Pourtant, je suis j’hésite. Mon regard trouve à nouveau le sien.

« Si tu te pose la question, Oui. Je vais te baiser à nouveau et même commencer par t’enculer ici cet après-midi. Mais seulement si tu décides de me sucer. Au moins, les choses sont claires pour toi et je ne peux pas être plus franc. »

Tellement claire que je me lève, je saisie mes vêtements et mon téléphone pour faire face a la porte de sortie. Il vient de me faire peur avec cette franchise. Il n’est pas question de me faire sodomiser. Peut être n’aurai t’il pas fallu qu’il me le dise. Je suis nue encore, je saisie la poignée de la porte que j’ouvre en grand. J’allais sortir quand :

« MAELINE !! Si tu sors, c’est définitif. Il n’y aura pas de marche arrière possible. Je n’irai pas te chercher. Réfléchie bien à ce que tu risque de louper. Tu n’es pas venue ici par hasard et tu le sais. La preuve, tu me branlais. Réfléchis à tes actes avant de décider sur un coup de tête. Tu risques de passer à coté de quelque chose d’incroyable et tu pourrais le regretter toute ta vie.»

Je marque un temps d’arrêt. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu’il a raison. Je me retourne pour le regarder puis je regarde à nouveau la porte. Il a aiguisé ma curiosité. Qu’est ce qu’il peut m’offrir de si incroyable ? Et ce sexe, cette verge, son attribut si puissant, si fort, qui m’a faite vaciller avec une telle force. Autant je suis prête à me faire pénétrer a nouveau, autant qu’a l’idée de le recevoir dans mon anus m’est impensable.

Je commence à sangloter, j’ai peur. Je vais rester devant cette porte pendant de longues minutes sans qu’il ne me dise quoi que ce soit. Ma décision semble prise quand je me retourne une dernière fois pour le regarder avant de partir. Il est assis, le sexe encore en érection, les mains sur les accoudoirs du siège, il n’a pas bougé, il m’attend encore. Mon dieu….

C’est plus fort que moi, je retourne vers lui, jetant mes affaires au sol. A genoux à nouveau entre ses jambes, je prends son sexe en main et cette fois, je le suce en éclatant en sanglots car je sais que je viens de faire une immense connerie. Je tente un « pitié » tout en suçant maladroitement. Pour seule réponse, j’ai un sanglant « Je ne t’ai pas forcée à rester Maëline. Tu es venue me sucer de toi-même. N’attends pas de la pitié de ma part petite soumise, je vais t’enculer comme je te l’ai promis. » Je repars de plus belle dans mes sanglots. J’ai vraiment peur car il est si gros, si large. Ma fellation est catastrophique a cause de mes pleures.

« Puisque tu ne réussis pas à me sucer correctement, je vais t’enculer ».

Relevée, dévastée, il me met des menottes dans le dos et un bâillon. Puis il me penche, ventre sur son bureau. Son sexe est a l’entrée de mon petit trou et sans la moindre pitié, il commence à me déchirer littéralement le cul. Il n’a aucune pitié pour mon orifice vierge. Il rentre inévitablement et commence à me sodomiser. Je suis envahie par une forte douleur et mes cris sont étouffés par le bâillon. Il tient parole, il n’a pas de pitié pour moi et plus mon orifice se détend, plus il accélère la cadence de pénétration. « Une bonne salope comme toi est une salope qu’on encule. » Ne pensant qu’à lui, il ne montre pas le moindre signe de douceur. Je suis anéantie par le rythme. Cette sodomie semble durer des heures tant j’ai hâte qu’il finisse. A plusieurs reprises, il se retire pour constater mon élargissement anal avant de replonger de plus belle à l’intérieur. Je sens mon anus ouvert a l’extrême et comme si c’était possible, je sens que son sexe a triplé de volume. Je pleure toutes les larmes de mon corps. Je n’ai pas le moindre plaisir. Il m’a dit qu’il allait me défoncer et c’est précisément ce qu’il a fait. Enfin, il éjacule dans mon cul comme il l’a fait la veille dans ma chatte. Sans capotes, sans rien. Je reçois son sperme comme un soulagement car il met fin a ce supplice intense.

Pour me permettre de m’en remettre, il me laisse par terre. J’ai horriblement mal aux fesses. Cette sodomie a été d’une rare violence et je suis déchirée. Il me détache les mains et m’enlève le bâillon puis il me jette un tube de crème.

« Mets toi ca a l’entrée du cul, c’est de la crème cicatrisante et apaisante qui va te soulager. »

Puis il reprend le travail comme si je n’étais pas la. Il ne tient plus compte de moi pendant 2h30 au moins ou je ne sais pas quoi faire si ce n’est d’attendre.

Au bout de ces 2h30, alors que je m’apprête à prendre mes affaires pour partir, il m’adresse a nouveau la parole.

« Tu vas ou comme ca ? Je ne t’ai pas autorisée à partir.

  • Pitié, s’il vous plait. Vous avez eu ce que vous vouliez.

  • Ce que je veux ? C’est toi que je veux et je t’ai. Tu es venue à moi librement. Maintenant tu m’appartiens et tu ne partiras qu’avec mon accord. N’oublie pas que tu t’es donnée à moi de ton plein gré en toute connaissance de cause. Donc assises.

  • Mais je dois rentrer chez moi, mes parents m’attendent.

  • Tu les reverras tes parents, je ne vais pas te séquestrer. Ne t’en fais pas pour ca. Appels les pour leur dire que tu es avec une copine et que tu vas rentrer un peu plus tard car tu vas aller voir le feu d’artifices ce soir. »

Une fois encore, j’obtempère et appel mes parents. Evidemment, ils ne me poseront pas de questions et valides que je rentre plus tard car en plus, j’ai les clés de la maison pour rentrer même au cœur de la nuit.

A peine ai-je raccrochée qu’il se présente face a moi, sexe en érection. Je suis nue, assise par terre.

« Allez cette fois, suce moi et applique toi, je veux voir ce que tu sais faire avec ta bouche».

Cette fois, je ne pleure pas et je prends son sexe en bouche. Je suis tellement intimidée que je fais mon maximum pour le satisfaire. Je ne réussis pas à m’expliquer pourquoi je suis encore la, avec lui.

Je déteste sucer un garçon et pourtant, pendant près d’une heure, il ne m’autorisera pas à m’arrêter. Ma mâchoire me fait atrocement mal et je suce de moins en moins bien. De plus son sexe est trop gros pour ma bouche et trop souvent, j’ai des remontés. Mais c’est lui qui commande et je ne fais que lui obéir.

Au bout d’une heure, il me redresse et me plaque sur le bureau comme pour la sodomie. Prise de panique, il me rassure :

« C’est ta chatte que je vais baiser, pas ton cul alors calme toi ou je te mets une fessée que tu n’oublieras jamais de ta vie »

Joignant le geste à la parole, il pénètre mon vagin. Il a beau être autoritaire, il n’a qu’une parole. Encore une fois, cette pénétration est à sens unique et il ne pense qu’a son plaisir. Je vais malgré tout monter en sensations, mais il finira avant que mon plaisir n’arrive réellement, me remplissant la chatte et me laissant frustrée une fois de plus. Cette situation me montre a quel point j’accepte son autorité sans rien dire et ca me fais peur.

Il est bientôt 20h et je n’ai plus de bus pour rentrer. Il le sait bien mais ca ne semble pas le perturber plus que ca. Puis la suite arrive.

« - Je vais être remplacé par un collègue à 21h. Evidemment, tu n’as pas le droit d’être ici. Donc tu vas sortir bientôt. Mais avant ca, voici la suite telle que je la voie. Tu as bien compris que tu es ma soumise maintenant et que tu m’appartiens totalement.

  • Oui

  • Pourquoi avoir accepté de m’obéir en sachant que j’allais te baiser et surtout t’enculer.

  • Je ne sais pas, je ne réussis pas à me l’expliquer.

  • Pourtant tu as vite compris que j’allais te baiser et que je vais le refaire.

  • Oui, j’ai bien compris en effet.

  • Et ca ne te fais pas peur ?

  • Si, terriblement. Surtout si la sodomie est si douloureuse.

  • Alors pourquoi tu acceptes, si tu as peur ?

  • Vous….m’intimidez tellement…je ne sais pas pourquoi….je ne réussis pas à vous refuser quoi que ce soit.

  • Tu vas sortir d’ici totalement nue. Tu iras te cacher derrière l’enseigne. Je vais venir te récupérer et je te déposerai chez toi après avoir mangé et que je t’aurai à nouveau baisé.

  • Si on me voit toute nue, je fais….

  • Tu te laisse baiser. Interdiction de refuser une relation sexuelle. Et sauf avis contraire de ma part, tu auras maintenant l’interdiction définitive de refuser toutes propositions sexuelle qui te sera faite.

  • Mais je….

  • Tu ne discute pas MES ordres. Mais rassures toi, personne ne vient par ici le dimanche. Maintenant sors d’ici, les portes peuvent être ouvertes de l’intérieur et laisse tes vêtements ici. »

Une fois de plus, j’obéis avec la plus grande crainte. Je pleure car j’ai peur. Peur d’être vue dehors et de devoir coucher avec n’importe qui une fois de plus. Mais il a une fois de plus raison. Personne ne vient par la le dimanche et je peux trouver une cachette sans soucis.

Une voiture s’approche et se gare. Sans doute le collègue de travail. C’est confirmé quand il entre dans le centre commercial. Je peux tranquillement attendre mon bourreau. Je tourne et retourne cette incroyable 2eme journée dans ma tête et ce que je viens de vivre. Je suis sortie de mes songes par…le collègue qui, face à moi, sans un mot, me présente son sexe déjà en érection. Comment a-t-il su ? Comment m’a-t-il trouvé ?

Je ne vois qu’une seule réponse a mes questions : mon bourreau le lui a dit. Je dois dire qu’il me manipule si bien qu’a chaque fois, je suis surprise. Mais pas le temps de gamberger, je sais que je dois sucer cet inconnu. Mon dieu qu’est-il entrain de faire de moi. Par chance, la fellation ne durera pas longtemps avant qu’il ne décide de me pénétrer. Je ne le remarque pas, mais à aucun moment, il ne me sodomisera. Preuve une fois encore que mon bourreau l’a averti. Quand vient le moment pour lui d’éjaculer, il décide de retirer sa capote et de me remplir la bouche avec une phrase :

« Tu garde mon cadeau jusqu’à l’arrivé de ton Maître pour le lui montrer. »

C’est répugnant. J’ai une énorme quantité de sperme dans la bouche qui me provoque des hauts le cœur. A plusieurs reprises, je suis au bord du vomissement. Je pleure toutes les larmes de mon corps quand après une attente interminable, mon bourreau arrive.

« Il parait que tu as reçue un cadeau et que tu dois me le montrer. »

J’ouvre la bouche et le sperme me coule en partie le long du menton. Sans la moindre expression sur son visage, il ajoute.

« Mon collègue veut que tu avale. Alors bon appétit ».

Malgré tous mes efforts, je ne vais pas réussir à avaler. Je finis en vomissements prolongés qui laisse de marbre mon tortionnaire. Pour punition, il ne m’autorise pas à remettre mes vêtements. Et après avoir bu quelques gorgés d’eau d’une bouteille qu’il a dans sa voiture, il m’embarque en direction d’un fast-food. Je suis tétanisée sur le siège passager du véhicule. Je suis nue et a la vue de tout le monde.

Les réactions ne se font pas attendre et certaines remarques ou propositions me glace le sang sans que mon bourreau ne réponde à qui que ce soit. Arrivés au « Drive » de ce restaurant rapide, Il passe commande pour moi sans se soucier de mes gouts. Au moment de retirer la commande, le jeune homme qui nous sert me regarde avec insistance.

« - Elle te plait ?

  • Je vous demande pardon Monsieur?

  • Tu n’arrête pas de la regarder, elle te plait ?

  • Bah elle est jolie, mais c’est sa tenue qui interpelle surtout.

  • Tu veux la baiser ?

  • Je vous demande pardon ?

  • Aimerais-tu la baiser ?

  • C’est une blague ?

  • Pas du tout. Je suis on ne peut plus sérieux. Veux tu la baiser, oui ou non ?

  • Heu je ne sais pas. C’est vrai que c’est tentant.

  • Tu finis à quelle heure ?

  • 22h Monsieur.

  • D’accord. Tu vois le parking au fond là bas ?

  • Heu oui ?

  • Nous t’attendrons jusqu'à 22h15. Passé ce délai, nous serons partis.

  • D’accord Monsieur.

  • A tout a l’heure. »

Il récupère la commande et nous nous éloignons du restaurant. Fidèle a sa promesse, il nous stationne sur le parking prévu et il me donne ce qu’il a prévu pour moi. Je ne rechigne pas sur ce qu’il m’a prévu bien que je n’aurai pas pris ca. Alors que je mange, 2 mecs à l’allure douteuse passent et s’arrêtent à ma hauteur me faisant des propositions sexuelles. Mon tortionnaire va les repousser aussi vite qu’ils sont venus, sans la moindre difficulté et ainsi me rassurer sur sa capacité a « choisir » des personnes a minima respectable pour me pénétrer.

Mais le temps passe vite et le jeune homme du Drive se présente à hauteur de la voiture. Mon bourreau l’invite à monter afin de trouver un coin tranquille alors que je dois passer a l’arrière de la voiture pour commencer à sucer mon nouveau partenaire d’un coup.

Rapidement, la voiture s’arrête et mon partenaire profite de l’aubaine de pouvoir me baiser à sa guise. Pendant 30 minutes, il alternera entre pipes et pénétrations. Il ne se prive pas et je dois reconnaitre que la situation est particulière pour moi. Avec cette relation sexuelle imposée, je me rends compte de ma situation et de ce que mon bourreau veut me faire vivre sous ses ordres. Alors qu’il me regarde me faire pénétrer, je m’aperçois être totalement sous le charme de mon tortionnaire. Pour la 1ere fois, je lui trouve un charme fou et une prestance imposante.

Bien que pénétrée, je ne suis concentrée que sur cette homme du double de mon âge, qui pourrait être mon père et qui décide de ma destinée depuis 24h.Je pars dans une jouissance folle rien que d’y penser et ca encourage mon partenaire qui, malheureusement pour lui, n’est pour rien dans mon orgasme. Ca le fera jouir aussi et il se répandra sur mes seins après avoir enlevé sa capote.

Ce partenaire sera raccompagné a sa voiture puis, toujours nue, nous reprenons la route. Cette fois, je ne vois plus mon bourreau de la même façon

« -Maître ?

  • Tiens, tu acceptes ta condition maintenant ?

  • Oui. Je peux vous poser une question ?

  • Je t’écoute.

  • Vous allez m’offrir à beaucoup d’hommes encore ?

  • Tu peux te rhabiller. Je te raccompagne chez toi. Nous n’allons pas voir le feu d’artifice.

  • S’il vous plait, vous pouvez me dire ?

  • (arrivés devant chez moi) Je te conseil de bien dormir cette nuit. Demain je viens te récupérer à 10h00 sans fautes. Tu seras en jupe ou robe très courte, pas de sous-vêtements et tu mettras ca. (Il me tend un drôle de collier)

  • S’il vous plait, vous voulez bien me dire ?

  • (Il ne répond pas à la moindre question.) Bonne nuit Maëline ».

Je quitte la voiture inquiète de la suite des événements. Bizarrement, je n’ai plus mal aux fesses et il est 23h15 quand je franchie la porte de la maison. La crème a fortement atténué la douleur de la sodomie subie en début d’après-midi.

Mes parents sont couchés car ils travaillent le lendemain. Et oui, même un 14 juillet, certains travaillent. Je ne vois donc personne lorsque je rentre dans mon lit. J’ai beaucoup de mal a trouver le sommeil cette nuit la. Je vais régulièrement passé ma main sur mon anus comme pour vérifier si je n’ai pas fais un cauchemar. Mais aussi pour constater à quel point je suis très ouverte, dilatée. Je n’arrête pas de penser à cet homme et à ce qu’il me fait vivre depuis la veille. Je ne me reconnais pas à tout accepter comme ca. Pourtant, je ne réussis pas à avoir le moindre regret. Je repense à ce jeune homme qui avait les yeux qui pétillaient devant cette aubaine de pouvoir me pénétrer. Il semblait si heureux d’avoir une telle chance alors que moi, je ne pensais qu’à mon Maître, qu’à son merveilleux sexe. J’en suis folle et je finie par me caresser partant dans un orgasme torride en imaginant qu’il est en train de me baiser. Mon dieu, qu’il baise bien, J’en suis folle à mourir.

Mon orgasme retombé, me viens une angoisse. Et s’il ne venait pas demain ? Et s’il avait « juste » profité de cette aubaine sur 2 jours pour se taper une jeunette ? Et s’il s’était foutu de ma gueule ? Après tout, ca serait logique vu son âge. Je ne suis qu’une gamine à ses yeux et il peut largement trouver une femme de son âge. Il est peut être marié aussi ? Peut être même qu’il a des enfants. Vu son âge, ses enfant doivent avoir le même âge que moi. Je me mets à pleurer car c’est sur, je me suis faite avoir. Je finie par m’endormir dans mes pensés, mes doutes, mes craintes.

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